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« La loi du plus fort », documentaire très biaisé à Radio-Canada

Le documentaire « La loi du plus fort », de Nathalie Roy (premier volet à l’émission Les grands reportages de RDI (Radio-Canada) le 12 mai 2020, est au mieux de la mauvaise foi; au pire, et probablement, une propagande de snowflakes d’extrême-gauche « inclusifs » et féministes.

La méthode de ce documentaire est trop irritante pour ne pas commenter ici ses extraits les plus révélateurs.

LOI PLUS FORT

Pour Roy, l’intimidation n’est qu’une affaire d’homme. Disqualifiée dès le départ.

La manœuvre de diabolisation des hommes par toutes les Roy, Katia Gagnon et Rima Elkouri gauchistes fermées de ce monde est de mieux en mieux dévoilée. Or, la réalité les rattrape et elles paniquent. Mais elles n’ont rien vu encore.

Je ne nie pas l’existence de l’intimidation, mais on voit bien que ce concept, comme celui de racisme, est surexploité par les auto-proclamés bien-pensants, qui rêvent d’un monde sans contrariétés, pour discréditer ceux qui disent des choses qui leur déplaisent.

Il y a toutes sortes d’intimidations. Certaines doivent être combattues énergiquement, qu’elles soient l’œuvre d’un homme ou d’une femme, une nuance dont la réalisatrice ne s’embarrasse pas.

Mais si on appelle « intimidation » le fait de critiquer un journaliste de mauvaise foi par des mots secs, alors cette intimidation est malheureusement nécessaire, notamment pour les citoyens qui n’en peuvent plus de se faire mentir, exploiter et/ou intimider par les politiciens, les médias et bien sûr les dictateurs non-élus à cravate. Ces citoyens n’ont parfois comme dernier recours que d’avoir ce ton agressif. On les comprendra. Ils ne peuvent pas compter sur les journaliste fermés pour publier leurs opinions.

De façon prévisible, la cible préférée de Roy est Donald Trump. Mais elle échoue à démontrer l’étiquette « d’intimidateur en chef » qu’elle lui assigne, comme le veut la mode.

Elle débute avec cette vidéo virale hilarante qui nous montre Trump (avant son élection), lors d’un gala de lutte, s’attaquer à la blague à un homme dont la tête est remplacée par le logo de CNN.

TRUMP CNNRoy, en bonne vierge offensée, s’empresse de dénoncer une « attaque contre la liberté de presse ». Ça ne s’invente pas! Non seulement elle n’a pas compris cette vidéo, mais elle oublie commodément le mensonge institutionnalisé dont a fait preuve CNN depuis la campagne électorale de Trump.

Elle choisit ensuite comme photo de Trump, parmi des milliers disponibles, celle ou il mime avec ses mains le geste de tirer à la carabine. Manipulation. Le jupon traîne dans la boue.

Le verdict de Roy tombe (à l’eau): « La montée fulgurante de Trump a montré que l’intimidation peut être une stratégie gagnante. »
Il ne viendrait pas à la pensée de Roy que Trump a été élu pour des raisons autres que son parler politiquement incorrect (quoique ce fut un facteur important), que peut-être la majorité des Étasuniens n’en pouvaient plus de l’hypocrisie politique, et que Trump n’est justement pas un politicien.LA FOLLE YOU ARE HERE

Au débat Trump-Clinton, la modératrice rappelle à Trump ses mots désobligeants envers « les femmes ». La réplique de Trump (« only Rosie O’Donnell) fut un triomphe. Car il ne visait pas toutes les femmes, même si pour certaines extrémistes, c’était le cas.

L’autre invité de Roy affirme ensuite gratuitement que « Trump est entouré de crapules ». C’est de la diffamation, mais Trump en a largement l’habitude. Il survit très bien. Prenez note.

Les propos intolérants et racistes sur le web ont augmenté durant l’ère Trump. Ce ne sont quand même pas ses propos. Il en a lui-même encaissé des tonnes; ça ne l’a pas empêché d’avancer et de faire progresser son pays. Il est vrai que son franc parler en a encouragé plusieurs à s’exprimer crument dans l’anonymat du web. Je vois quand même comme une chose positive, à tout le moins un moindre mal, que les gens s’expriment (et pas toujours haineusement) au lieu de faire les moutons devant la télévision.

Quant au témoignage de Chritsine Blasey-Ford qui accusait de viol le sénateur Brett Kavenaugh, il a été complètement défait. Elle avait des gros trous de mémoire. C’est de cela dont Trump se moque avec raison.

BLASEY

Chrisine Blasey-Ford. Ses « pertes de mémoire » ont révélé la machination contre Brett Kavenaugh.

Pour les bien-pensants, la vérité est souvent perçue comme intimidante; il ne faut donc pas la dire.

Cette opération de destruction visait uniquement à empêcher Kavenaugh de devenir juge. La jeune Lysa (table ronde d’étudiants) dit avec raison que « ces hommes (les violeurs) doivent être dénoncés et ne pas se trouver en position de pouvoir. » En effet, c’est pour ça que Trump et Kavanah, sournoisement visés ici, BLASEY 2sont légitimement au pouvoir.

Notez au passage que le vrai visage du mouvement me too s’est révélé avec cet épisode, tout comme le racisme du mouvement Black Lives Matter.

Je remarque que les jeunes femmes à la table ronde défendent le droit des femmes de tuer le bébé qu’elles portent (c’est la fonction de l’avortement) et qui n’ont pas de droits, conçu à l’aide d’une verge qu’elles ont accueillie librement (exception faite du petit pourcentage des conceptions résultant d’un viol). Ces avortements sont justifiés à leurs yeux, qu’il s’agisse simplement de s’assurer un emploi ou de poursuivre des études. Examen de conscience à faire, mais ne comptez pas sur les féministes pour ça.

Encore heureux que Nathalie Roy accorde quelques moments de parole à des opinions contraires, comme ce leader du groupe La Meute, ou cet étudiant à t-shirt rouge, sinon ce documentaire serait encore plus honteux, déjà que le parti pris éclabousse.

Par exemple, l’étudiant au t-shirt rouge ne voit pas d’insultes dans les mots de Gaétan Barrette (« architecte du néant » et « épileptique ») adressés à sa collègue de l’Assemblée nationale.  Ça peut paraître méchant et certains y verront des insultes, mais d’autres, non.

Mon « point » est le suivant: malheureusement pour les snowflakes (Emiko, au tour de table, en est un beau spécimen), les mots qu’ils trouvent durs et qui sortent souvent de façon spontanée vont toujours exister dans le monde réel et surtout, le langage édulcoré et hautement hypocrite de la bien-pensance ne gagnera jamais.

Oui, la raison d’être de l’intimidation est le contrôle par la peur. Mais je ne vois rien d’apeurant à me faire appeler « architecte du néant » ou « épileptique ». Or, pour les bien-pensants, dont le monde est en train de s’écrouler, ce serait presque une cause de prison et/ou de castration. Seuls les bien-pensants, autoproclamés détenteurs de la vertu, y verront un power trip.

Je ne suis aucunement fan du style de Régis Labaume, maire de Québec, mais je pense qu’il a cherché à s’excuser en disant « j’ai fait du Labaume ». Et tout journaliste doit s’attendre, sans crier au meurtre, de se faire dire, comme le fait Labaume, « de toute façon ce sera mauvais ce que vous allez écrire ». D’ailleurs il s’est encore excusé dans un message publié dans le journal et sur le web.

Nathalie Roy, tout en haut de sa chaire, ne peut se retenir: « On espérait bien qu’il avait appris la leçon ». Arrive donc la journaliste culinaire prénommée Alison, que Roy est allée chercher car celle-ci a aussi vécu avec Labaume un incident « intense qui m’a marqué dans ma vie. »

Qu’on se le dise: les médias  ne sont pas des intouchables, bien au contraire.

L’ironie est que Roy se présente à un point de presse de Régis Labaume comme un chien dans un jeu de quilles pour l’intimider sous prétexte qu’il n’a pas répondu à sa demande d’entrevue « sur l’intimidation ». On comprendra le refus définitif de Labaume après cet incident. Roy réserve le même procès à Denis Coderre et en profite, toute pimpante, pour glorifier « l’ouverture » de Valérie Plante qui ne manque pas l’occasion de se plaindre de mansplaining. Les deux sont comme larrons en foire, mais à ce point, ça ressemble moins à du journalisme qu’à la méthode Goebbels (aussi grotesque qu’efficace) qui était en mission tout comme Nathalie Roy l’est ici.

La documentariste dénonce l’extrême-droite, mais étrangement, pas un mot sur la violence de l’extrême-gauche. Roy fait ainsi preuve soit d’ignorance, soit d’une indignation très sélective. 

HOMMECar aux États-Unis, depuis 4 ans, les incidents violents dans des lieux publics et dans des universités (ils pullulent sur Youtube, et le film Evergreen et les dérives du progressisme a fait fureur) sont presque toujours l’œuvre des extrême-gauche, les social justice warriors, partisans des Démocrates qui nourrissent contre le président une haine irrationnelle alimentée par les médias.

La violence des « tolérants ». Voir la vidéo

Quelques mots sur le dogme illusoire de multiculturalisme, abordé dans le film et qui connaît une déchéance spectaculaire, Dieu merci. Rappelons que pour un nombre grandissant de Québécois et d’occidentaux, les invasions migratoires sont perçues comme une menace – notre peuple est petit et fragilisé, quoique résistant – quand trop d’immigrants nient ou méprisent la culture et l’identité de la « société d’accueil ». La grande ironie est que le « modèle multiculturel » détruit les diversités.

MULTIEt voici le sommet d’hypocrisie écœurante: pour les « multiculturels », la seule « diversité » qui est « une richesse » est celle « apportée par l’immigrant ». Un Québécois ose défendre « sa richesse diversitaire »? Il est accusé de « repli », de « racisme », d’extrême-droitisme.

Cette machination aussi évidente qu’une gifle devient de plus en plus intolérable. Et vous voilà étonnées que les gens dénoncent et se protègent. Vous devrez vous y faire, car « le monde évolue ».

La prochaine fois, peut-être, Mme Roy. Avec un soupçon d’objectivité si possible.

Vous joignez la liste des propagandistes sous surveillance.

(FRAN-English) Migrants: le Dalaï Lama craint que l’Europe devienne “musulmane ou africaine”

Le Dalaï-Lama en entrevue à la BBC.
« Chaque pays a sa propre culture, sa propre langue, son propre mode de vie, et il est mieux pour chacun de vivre dans son propre pays. C’est mon opinion. »
Original source on BBC  

Dalai-Lama migrations BBC

Sur le même sujet: Pour le Dalaï Lama, il y a trop de migrants en Europe

 

On veut expulser les Québécois de chez eux (symboliquement ou réellement)

Texte de Mathieu Bock-Côté, Journal de Montréal

« Se pourrait-il qu’une proportion significative des nouveaux arrivants adhère au Canada et à sa vision condescendante du peuple québécois, et que mieux on s’intègre au Canada, plus on rejette le Québec?


Un nouveau peuple prend forme à Montréal,
Il veut se séparer du peuple québécois, considéré comme une population homogène culturellement retardataire.
Immigrants jaloux copie

Ce discours divisif n’est pas seulement celui des excités qui accusent le Québec de «nettoyage ethnique».
Trop souvent, on l’entend chez des jeunes qui se veulent les représentants d’une diversité.
Ils affirment souvent ceci: « le Québec n’appartient pas aux Québécois, qui l’ont volé aux Amérindiens et nous sommes tous des immigrants. »
Ce qui est historiquement faux.
Ils trouvent que les Québécois francophones, peuple fondateur de ce pays, sont un peu moins légitimes que les autres, à cause de leur crime inaugural.
C’est ce qu’on appelle un renversement identitaire. »

Québécoise égorgée par un musulman, vive « l’enrichissement culturel »

« Déjà condamné en 2016, un Tchadien musulman égorge une Québécoise. »

Voir l’article original

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(Eng-Fran) Migrants: the ugly truth

Article
Study confirms: Refugees aren’t economically beneficial, they are mostly unemployed and cost billions of euros.

(FRAN: Une nouvelle étude par le Expert Group for Public Economics Studies (ESO) confirme que les réfugiés ne sont pas un « atout économique », ils sont majoritairement sans emploi et coûtent des millions d’euros aux pays où ils se rendent.)

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VOIR AUSSI: Selon l’Institut Fraser, l’immigration au Canada est un fardeau fiscal annuel de 20 milliards$. Article de Radio-Canada
(According to the Fraser Institute, immigration in Canada is a 20 billions$ annual fiscal burden).

Study confirms: Refugees aren’t economically beneficial, they are mostly unemployed and cost billions of euros.

A new study by the Expert Group for Public Economics Studies (ESO), shows how immigration costs Sweden billions of euros per year, news outlet SVT reports.

The ESO study examined the employment rate of refugees between 1983 and 2015. It shows how the employment rate of refugees has gradually deteriorated. In the 1980’s, integration was reported to have been significantly faster than in the 1990’s and beyond.

“We can find that it has always been difficult to put refugees into employment,” says Joakim Ruist, one of the study’s authors.

The study forecasts the long-term consequences of immigration on Sweden’s public finances. Both in the short and long term, migrants will cost Sweden billions of euros, the study shows.

Although the average immigrant contributes to society, this does not weigh up to the initial costs and costs of the pension. The net cost of the average “refugee” will therefore be a total of 74,000 Swedish crowns (7,184 euros) per year.

As 830,000 migrants came to Sweden as asylum seekers, the country pays 61.4 billion crowns (5.96 billion euros) every single year for them.

The study’s findings aren’t very different from other projections. Well known German economist, Hans-Werner Sinn, said earlier that Germany’s migrants are underqualified and can never ‘pay back what they have received from the welfare state’.

According to Sinn, Germany’s migrants could cost the country 1 trillion euros during their lifetimes. In the Netherlands a similar tendency can be seen. At least 90% of refugees are still unemployed after living for 2.5 years in the country. There are examples from Switzerland and Austria  as well.

It is not a surprise that refugee, migrants or asylum seekers cost European countries billions of euros. While they don’t bring profit and mostly live on benefits, Europeans necessarily have to work longer and pay more taxes.

Les gagnants de la mondialisation (bobos) contre les « ploucs »

« Ça fait des années que les élites se parlent entre elles comme si personne d’autre n’existait, comme si tout le monde pensait comme eux.
Ça fait des années que l’on dit au bon peuple de se taire et d’écouter les bien-pensants lui faire la leçon…
Eh bien, le bon peuple en a ras le cul. »

Il y a les gagnants de la mondialisation.

Ils travaillent dans le milieu de l’informatique, de la finance et des communications, ils voyagent, vivent dans des quartiers homogènes, envoient leurs enfants dans de bonnes écoles.

Ils se considèrent comme des citoyens du monde, possèdent une auto électrique ou prennent les transports en commun, car ils vivent en ville et n’ont jamais à faire de longue distance…

Bref, ce sont des bobos – le portefeuille à droite et le cœur bien à gauche. Faites ce que je dis, mais pas ce que je fais.

Puis il y a les perdants de la mondialisation.

Ils tirent le diable par la queue, ont vu l’entreprise pour laquelle ils travaillaient déménager dans un pays «émergent», habitent des quartiers chauds où les différentes communautés préfèrent vivre chacune dans son coin plutôt que vivre ensemble.

Ils ne voyagent pas, souffrent d’insécurité économique et culturelle, sont écœurés de se faire regarder de haut par une élite méprisante et déconnectée qui préfère les minorités (tellement plus cool) au peuple (tellement ringard et réactionnaire)

Oubliez le traditionnel combat gauche-droite, la prochaine ligne de clivage est celle-ci.

Les gagnants de la mondialisation contre les perdants; les bobos contre les prolos.

Ou, comme l’a écrit le philosophe français Alain Finkielkraut cette semaine, les branchés contre les ploucs.

C’est ce qui se passe en France.

La France « d’en bas » a mis un gilet jaune pour se faire remarquer par la France « d’en haut ».

Youhou, on est là, on existe !

« Le gilet jaune n’est-il pas ce dossard que l’on enfile la nuit lorsqu’on est perdu au bord de la route simplement pour être vu ? » comme l’a fait brillamment remarquer Christian Rioux dans Le Devoir

« Écoutez-nous ! »

Ça fait des années que les membres d’une certaine élite se parlent entre eux comme si personne d’autre n’existait, comme si tout le monde pensait comme eux.

Tous les dimanches, ils vont à la messe et s’agenouillent de façon ostentatoire devant le pape du Plateau pendant qu’un régisseur demande au bon peuple que l’on a fait venir pour remplir le jubé d’applaudir à chaudes mains (et au bon moment) la montée de lait 100 % bio d’un artiste marginal ou l’envolée « solidaire » d’un millionnaire socialiste…

Ça fait des années que l’on dit au bon peuple de se taire et d’écouter les bien-pensants lui faire la leçon…

Eh bien, le bon peuple en a ras le cul.

Et il dit : « Écoutez-nous ! Vous ne cessez de vanter les splendeurs de l’immigration alors que vous vivez dans des banlieues cossues où tout le monde est blanc et catholique.

« Vous ne cessez de dire que nous avons peur pour rien, que nous nous inventons des problèmes imaginaires, que nous ne pouvons penser par nous-mêmes et que nous sommes stupidement manipulés par des commentateurs nationalistes et populistes… »

Le pavé dans la mare

« Le plus excellent symbole du peuple, c’est le pavé, écrivait Victor Hugo. On marche dessus jusqu’à ce qu’il nous tombe sur la tête. »

Eh bien, c’est ce qui est en train d’arriver en France.

Et c’est ce qui risque d’arriver ici au Québec.

Article original

 

Trump condamne le génocide des chrétiens et Yezidis dans les pays musulmans

GRANDE NOUVELLE! Enfin un président qui agit contre cette horreur.
Obama et Hillary n’ont jamais eu cette idée.
En effet c’est l’un des grands mensonges de notre époque, que de NIER le génocides des CHRÉTIENS et des Yezidis dans les pays musulmans.
Mais ne compter pas sur Trudeau Junior; tout indique qu’il est converti à l’islam et le sort des chrétiens dans le monde ne le préoccupe pas (seulement toutes les autres minorités).
C’est pour cette raison que nos « grands médias » n’en parleront probablement pas non plus.

« Le Président Trump a signé hier l’Iraq and Syria Genocide Relief and Accountability Act of 2018, loi qui qualifie de génocide les crimes perpétrés ces dernières années par des groupes djihadistes (musulmans, islam) à l’encontre de chrétiens et de Yézidis en Irak et en Syrie.
Il s’engage à fournir une assistance humanitaire aux groupes de victimes des violences et à poursuivre les responsables et les exécuteurs matériels des faits.
Lire l’article

L’ULTIME VIDÉO / ULTIMATE VIDEO islamic invasion Europe

Invasion islamique organisée par les dirigeants d’Europe. HAUTE TRAHISON DU PEUPLE.
Ils ne s’en CACHENT PAS, ils le disent OUVERTEMENT.
Les Européens seront forcés à une guerre civile pour survivre à cette invasion barbare.
La narration commence à 2:00.  CE QUE LES MÉDIAS NE VOUS MONTRENT PAS.

Islamic invasion organized by european leaders (HIGH TREASON TO THE PEOPLE).

They’re not hiding it. THEY ADMIT IT OVERTLY.

Europeans will be forced to war for survival.

Narrative begins at 2:00.   WHAT THE MEDIAS ARE NOT SHOWING YOU. 

 https://www.youtube.com/watch?v=y5R1T2BxtSc

French ex-president Sarkozy, another traitor of extreme-left genocide.

Ex-président français Sarkozy, un autre traître de l’extrême-gauche génocidaire.

« Nous prendrons vos femmes comme butin de guerre. »
Le viol est une arme de guerre.

Combien nous coûte l’immigration? La peau des fesses. Sans compter les coûts corollaires.

« Les immigrants sont un fardeau fiscal de 20 G$, selon l’Institut Fraser » dont 4 milliards$ au Québec. (RadioCanada)

Imaginez ce qu’on pourrait faire avec tous ces milliards pour régler des problèmes prioritaires au Québec.

« Le plan d’accueil des réfugiés syriens coûtera 1,2 milliard de dollars » (Radio-Canada) Le coût du musulmanisme au Canada.

Le document ajoute qu’une somme de 1,1 milliard de dollars devra être ajoutée pour les beoins des réfugiés d’ici 2021. Six ministères fédéraux seront financés pour déployer l’opération, dont celui de la Citoyenneté et de l’Immigration, qui recevra à lui seul 528,4 millions. 

Autre texte contenant plusieurs informations choquantes sur l’immigration au Canada et au Québec.

Sans compter les zillions$ des coûts corollaires de la non-intégration à l’emploi, à la culture, à la société.
EN AVONS-NOUS LES MOYENS? Pourquoi, dans l’intérêt de qui ou de quoi nos propres dirigeants nous imposent-ils ce fardeau?

« Ô Canada, nous allons t’avaler, t’imposer nos moeurs et religions.
De toute façon tu n’as jamais eu de réelle identité. »

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