Archives mensuelles : mars 2015

Le Québec qui « vit au-dessus de ses moyens », un MYTHE libéral visant à manipuler

Source

Le Parti libéral du Québec est un expert du mensonge et de la supercherie.

Pour justifier ses mesures « d’austérité » et réduire la taille de l’État, le gouvernement Couillard cultive la fausse image de «lourdeur» de notre État. Pourtant, si l’on regarde les dépenses par habitant fournies par Statistique Canada, on constate qu’elles s’élèvent à 18 381 $ au Québec comparativement à 18 815 $ pour l’ensemble du Canada.

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Dépenses des administrations provinciales et locales par habitant, 2009

En santé 

  • Canada (sans le Québec): 3568 $
  • Québec: 3139 $
  • Ontario: 3481 $
  • Alberta: 3566 $
  • Colombie-Britannique: 3392 $

En éducation

  • Canada (sans le Québec): 2807 $
  • Québec:  2542 $
  • Ontario:  2705 $
  • Alberta:  3128 $
  • Colombie-Britannique:  2687 $

Source : Statistique Canada. Recettes et dépenses du secteur des administrations publiques, comptes économiques provinciaux, Tableau CANSIM 384-0004.

Difficile, au regard de ces chiffres, de parler «d’État obèse» ou de «Cadillac luxueuse». La population québécoise est en droit d’exiger un panier de services publics d’une qualité et d’une accessibilité comparables à ceux des autres provinces. C’est à cette mission que devraient être réinvestis les surplus que le gouvernement camouflera cette semaine.

Jeudi, le gouvernement Couillard présentera son deuxième budget et devrait annoncer en grande pompe le retour à l’équilibre budgétaire. Sous le couvert du déficit zéro, ce budget camouflera en réalité un surplus d’environ 1,6 milliard $. Dans le contexte actuel d’austérité et de sous-financement, ce surplus devrait être réinvesti dans les services publics, notamment en santé et en éducation.

La définition actuelle de «solde budgétaire au sens de la Loi sur l’équilibre budgétaire» a pour effet de donner une image faussée de la réalité des finances publiques du Québec. Si l’on se fie aux estimations de la dernière mise à jour économique de novembre, le surplus réel de 1,6 milliard $ qui sera réalisé par le gouvernement disparaîtra à la suite de l’inclusion, sous forme de dépenses, d’un versement équivalent au Fonds des générations.

Les prévisions pour les cinq prochaines années annoncent une hausse importante de ces versements au Fonds des générations à plus de 3 milliards $. Il est primordial que les documents budgétaires reflètent le fait que les futurs «déficits zéro» cacheront en fait des surplus importants qui seront affectés exclusivement au remboursement de la dette. Cette décision éminemment politique ne peut être dissimulée derrière un automatisme budgétaire. Dans le contexte où plusieurs services et programmes sont remis en question et où l’on demande d’importants sacrifices aux employées et employés de l’État, la population est en droit de débattre des priorités dans l’affectation de ces surplus.

Un retard en santé et en éducation

Les données montrent des retards importants en termes de financement dans les réseaux de l’éducation et de la santé. Si l’on se compare avec les provinces voisines, on constate que le Québec consacre moins de ressources à la santé et à l’éducation pour chaque citoyenne et citoyen. En santé, Québec investit 3139 $ par habitant, alors que la moyenne des autres provinces est de 3568 $. Il s’agit donc d’un manque à gagner de plus de 400 $ par personne, ou de près de 3 milliards $ pour le réseau de la santé québécois. En éducation, le Québec consacre 2542 $ par habitant alors que les autres provinces n’investissent en moyenne 2807 $ par personne.

Pierre-Antoine Harvey et Erik Bouchard-Boulianne, économistes à la Centrale des syndicats du Québec (CSQ), Montréal

J. Charest, A. Pratte, A. Desmarais et M. Leroux devant la Commission Trilatérale, mais pas un mot des médias!

Jean Charest, André Pratte, André Desmarais et Monique Leroux devant la Commission Trilatérale

Pas un mot des « grands médias »!

Pourquoi?!

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L’ancien premier ministre du Québec, Jean Charest (Parti libéral), a donné une conférence devant le gratin mondialiste de la Commission trilatérale le 8 novembre 2014 lors de la réunion annuelle du groupe nord-américain de cet organisme. L’éditorialiste en chef de La Presse, André Pratte, a également parlé devant les membres de cet organisme mondialiste.

Rappelons que la C.T. est le rassemblement des grosses gommes mondialistes et corporatistes qui veulent contrôler le monde.

Cette réunion a eu lieu à Montréal au Sofitel le 7 et 8 novembre 2014, un hotel luxueux situé sur la rue Sherbrooke-Ouest. Jean Charest et André Pratte n’étaient pas les seuls Québécois ou Canadiens présents à cette réunion. En effet, Raymond Chrétien (le frère de Jean), Monique F. Leroux, Eric Noël, Pierre Fortin, Heather Munroe-Blum et André Desmarais ont aussi parlé devant la Commission trilatérale.

Les Canadiens Jeffrey Simpson, Peter Boehm, John Manley, Jason Kenney et Michael Byers étaient aussi présents.

Le DÉCODEUR a demandé à la Commission trilatérale une copie de la transcription de l’exposé faite par l’ancien Premier ministre Jean Charest, mais cela lui a été refusé pour l’instant. La seule chose qu’il est possible de savoir en consultant le site de la Commission, c’est que Jean Charest était là pour discuter d’énergie et de l’environnement.

André Pratte, lui, n’en était pas à sa première visite devant la Commission trilatérale. Il avait déjà parlé devant David Rockefeller et compagnie pour la première fois en 2005. D’ailleurs il avait débuté son discours ainsi :

« C’est évidemment un grand honneur pour moi de m’adresser à une audience aussi distinguée ; et pour cette occasion, je crois que je dois remercier Mr. Desmarais, qui est le propriétaire du journal pour lequel j’ai le privilège de travailler. Alors vous pouvez, j’imagine, comprendre que je me sens un peu nerveux aujourd’hui. Cela veut aussi dire que si je vous ennuie à mort pendant les 20 prochaines minutes, vous saurez qui blâmer. »

La deuxième fois que nous savons pour sûr que Pratte a participé à une réunion de la Commission trilatérale, c’est en 2008 alors qu’il est présenté par Bill Graham (membre officiel de la Commission trilatérale et ancien chef intérimaire du PLC) au gratin mondialiste pour y discuter de politique canadienne.

En 2011, il participait à nouveau à la réunion annuelle de la section nord-américaine de la Commission, cette fois en compagnie d’un autre membre officiel du think tank, le journaliste Jeffrey Simpson, columnist politique au Globe and Mail. Dans son allocution, dont une copie a été obtenue par le DÉCODEUR (nous remercions Sue Ellen Parrot de la Commission trilatérale), Pratte affirme que la question de la souveraineté du Québec est en train de mourir et prédit que le nouveau parti de François Legault, la Coalition Avenir Québec (qui devient officiellement un parti politique trois semaines après son allocution à la Commission), pourrait gagner les prochaines élections (les élections de 2012 gagnées par le PQ de Marois). Selon Pratte à l’époque, Legault aurait gagné parce qu’il était prêt à imposer des mesures d’austérité, qu’il ne voulait rien savoir d’un éventuel référendum sur la souveraineté et surtout parce que les Québécois souhaitait du changement.

Il ne fait aucun doute que monsieur Pratte est un participant aux activités de la Commission trilatérale. Toutefois, contrairement à son collègue journaliste Jeffrey Simpson et à son patron André Desmarais, le nom d’André Pratte ne figure pas sur la liste officielle de la Commission. Le DÉCODEUR a écrit à monsieur André Pratte afin de savoir s’il se considérait comme un membre officiel du think tank. André Pratte n’a pas répondu à cette demande qui est demeurée lettre morte.

Lors de la dernière réunion annuelle à Montréal, il était encore là pour discuter et faire une mise à jour de la situation politique au Québec. Encore une fois, il a été impossible d’obtenir une copie de son allocution de la Commission trilatérale.

La présidente du Groupe Desjardins, Monique Leroux, était également présente à cette réunion pour discuter des enjeux démographiques en Amérique du nord. Madame Leroux est une membre officielle du think tank mondialiste.

Parmi les autres invités se trouvaient aussi le Québécois Eric Noël, un conférencier professionnel sur le mondialisme, qui a comme clients des multinationales comme Power Corporation, Alcan, Citigroup, Deloitte, General Electric, Goodyear, la banque CIBC, ainsi que le gouvernement du Canada et du Québec!

Raymond Chrétien, président du CORIM, est aussi un membre officiel du think tank.

Heather Munroe-Blum, la principale de l’Université McGill, est également une membre officielle de la Commission trilatérale.

Le Québécois Pierre Fortin est chroniqueur pour le magazine L’actualité et est professeur émérite de sciences économiques à l’UQAM.

Cette dernière réunion de la section nord-américaine de la Commission trilatérale pourrait être considérée comme une véritable édition québécoise de ce rendez-vous annuel des mondialistes. Comme quoi le Québec n’est pas à l’abri de la puissance de ce think tank qui dicte en douce l’agenda politique et économique de tous les pays riches du monde.

Démissions: mais que se passe-t-il chez Hydro-Québec ?!

(Source originale)

Voir aussi cette vidéo (Assemblée nationale du Québec): Démissions chez Hydro-Québec – Le gouvernement doit donner des réponses aux Québécois

Quatre démissions en cascade chez Hydro-Québec, et non les moindres, forcent les questionnements. Pourquoi Thierry Vandal (ancien militant libéral), Marie-José Nadeau (épouse de l’ex-ministre des Finances libéral Yves Séguin), Michel Plessis-Bélair (homme fort de Power Corporation) et Georges Abiad (qui doit avoir quelque chose à voir avec tout ça, mais quoi?) ont-ils claqué la porte de la plus importante société d’État?

Est-ce que ces départs ont rapport, comme l’insinuait hier le député péquiste Bernard Drainville, avec une enquête de l’UPAC? Peut-être, mais rien ne le laisse jusqu’ici présumer. Est-ce que Georges Abiad a quitté à cause de son implication dans le dossier des compteurs supposément intelligents? Peut-être, mais ça reste à être démontré. Est-ce la présence de l’ex-patron de la Sûreté du Québec, Mario Laprise, dans l’enceinte d’Hydro-Québec, afin de vérifier la nature de certaines activités, aurait poussé ces personnes vers la voie de sortie? Peut-être, mais rien ne le prouve. En fait, ces départs sont tout aussi importants (puisqu’il s’agit de la tête d’Hydro) qu’ils nous prennent par surprise. Rien ne les avaient annoncés. Voilà pourquoi nous demeurons prudents à ce stade-ci.

Une chose demeure toutefois, et c’est que tout ce beau monde était jusque-là dirigé par un président de conseil d’administration qui n’a absolument pas les compétences pour se charger d’une telle mission. Michael Penner, un anglophone juif du West-Island, a été nommé par Philippe Couillard à la tête d’Hydro-Québec l’automne dernier, et ce, en remplacement de Pierre Karl Péladeau, nommé lui à ce poste par Pauline Marois. Penner n’a aucune expérience digne de ce nom en gestion publique. Il ne connaît rien à la production d’énergie électrique. C’est un simple avocat qui a fait des sous dans l’industrie de la chaussette et de la bobette.

En 2006, Penner a racheté la compagnie Bonneterie Richelieu de son père Harvey. Ce dernier l’avait acquise dans les années 1990 de la richissime famille Simard de Sorel pour qui il avait travaillé pendant 30 ans. Les Penner sont donc des proches d’une famille reconnue depuis des décennies pour ses accointances avec les libéraux.

Les Simard ont marié leur fille Andrée à Robert Bourassa qui devait diriger les destinées du Parti libéral dans les années 1970 et 1980-1990. Bourassa nomma même le frère de son épouse Andrée en tant que ministre de l’Industrie. La présence de Claude Simard dans son équipe, un junior sans aucune compétence particulière,  souleva les interrogations. Et on conclut rapidement au népotisme. Avec raison.

En tant que propriétaire de Bonneterie Richelieu, Penner s’est surtout démarqué par son grand talent à délocaliser les affaires de la compagnie (Il n’a en fait aucun lien avec le Québec, ayant en plus réalisé ses études aux États-Unis).  Ses vêtements sont aujourd’hui fabriqués en Chine, en Turquie, au Mexique et au Cambodge. Tous des endroits où les travailleurs du textile sont bien traités. Comme on le sait tous.

Penner est un allié de Philippe Couillard. Selon le journal The Gazette, il l’a soutenu dans la course à la chefferie du Parti libéral. Il a aussi versé près de 6000$ aux libéraux de 2003 à 2011. Ce n’est donc aucunement son expérience ou son talent qui lui valut de se retrouver à la tête d’Hydro-Québec, mais bien ses accointances avec la famille libérale de Philippe Couillard.

Que des cadres supérieurs d’Hydro-Québec se soient sentis mal à l’aise d’être ainsi dirigés par un amateur qui pue la nomination partisane, ce ne serait pas surprenant. Ces départs s’expliquent peut-être aussi facilement que cela. Sans que l’on doive recourir aux grands complots pour les comprendre.

Il n’en demeure pas moins que le contexte devient favorable à Philippe Couillard qui pourra remplacer ces libéraux démissionnaires presque tous issus de l’ère Charest par des libéraux qui lui seront plus loyaux.

Philippe Couillard a d’ailleurs déjà commencé le travail. Il a nommé Yvon Marcoux sur le conseil d’administration de la société d’État. Ex-ministre libéral, Marcoux avait appuyé Philippe Couillard dans la course à la chefferie du PLQ. Il a aussi nommé le maire de Rimouski, Éric Forest, sur ce même CA. Forest est un libéral qui a hésité longuement avant de finalement refusé de se joindre à l’équipe électorale de Couillard, le printemps dernier. Il préférait terminer son mandat à la mairie de Rimouski.N’en demeure pas moins que Couillard le voit dans sa soupe. Couillard a aussi nommé Laurent Ferreira. directeur à la Banque nationale. Celui-ci aurait, selon le registre du directeur des élections du Québec, versé 2000$ aux libéraux ces dernières années.

Pierre-Karl Péladeau: grand dossier pour comprendre le personnage

Voici un dossier remarquable pour mieux connaître Pierre-Karl Péladeau, homme d’affaires Québécois, candidat favori et probable du Parti Québécois souverainiste (mai 2015), aspirant au poste de Premier ministre et ardent défenseur de l’indépendance du Québec.

http://meteopolitique.com/Fiches/ethique/42/Pierre-Karl-Peladeau-un-libertarien-en-politique.htm

Péladeau MacLean 2

Foglia Pierre et Péladeau

Péladeau (PKP, Parti Québécois): programme pour l’indépendance et l’économie du Québec

(Lien)

Résumé du programme de Pierre-Karl Péladeau, député du Parti Québécois et candidat à la chefferie du P.Q. et au poste de Premier ministre du Québec:

Péladeau image résumé programme

01 – SOUVERAINETÉ ÉCONOMIQUE
– Développer et protéger nos sièges sociaux
– Promouvoir le concept de « préférence québécoise »

02 – DÉVELOPPEMENT DES RÉGIONS
« Contrairement à M. Couillard, je crois en nos régions. »
– Mettre en place un instrument de soutien économique : « Développement Québec »
– Définir les pouvoirs d’intervention économique des régions dans un
Québec indépendant.

03 – ÉTAT JUSTE ET EFFICACE
– Accélérer la lutte à l’évasion fiscale et aux paradis fiscaux
– Assainir les finances publiques
– Améliorer la qualité et la prestation des services publics
– Limiter l’augmentation du fardeau fiscal des Québécois

04 – ÉCONOMIE VERTE ET DURABLE
– Faire du Québec, d’ici 10 ans, un chef de file mondial en transport
électrique
– Opérer une transition du pétrole vers les énergies vertes

05 – ÉCONOMIE DE PARTENAIRES
– Permettre aux employés de participer à la propriété de l’entreprise
– Favoriser une culture du partenariat entre employeurs et employés

06 – POLITIQUE MANUFACTURIÈRE
– Élaborer une politique manufacturière à mettre en œuvre par « Développement Québec »

07 – STRATÉGIE NUMÉRIQUE
– Définir les contours d’un Grand sommet numérique
– Récupérer les compétences en matière de communication.
.
(P.S.: Chaque « province » canadienne est en réalité un État, mais pas souverain pour l’instant).
.
« En accédant à l’indépendance et donc en se libérant des contraintes imposées par le gouvernement fédéral, l’économie québécoise cessera de faire les frais des stratégies économiques d’Ottawa qui nuisent à son épanouissement.
J’entends démontrer comment l’État du Québec doit mieux appuyer l’économie, les entrepreneurs et les régions afin de créer des emplois et propulser notre économie nationale.
J’ai l’intention de promouvoir un Québec qui sera plus riche et dont l’État aura les moyens d’assurer l’égalité des chances.
Et je tiens à convaincre que l’État du Québec sera plus juste et efficace avec les nouveaux moyens qu’offrira l’indépendance nationale.
Nous ne saurions convaincre nos concitoyens d’entériner ce choix déterminant pour notre nation autrement qu’en leur démontrant que le Québec sera plus riche, plus prospère et plus à l’avant-garde. »

Hydro-Québec: vaste conspiration de spoliation contre tous les Québécois!

Lien pour le présent article (2015) 

Autre dossier choc de Richard Le Hir (2015)

Le manque de transparence d’Hydro-Québec (2015)

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La première ressource du Québec est l’hydroélectricité, et le Québec est la cible d’une vaste entreprise de collusion secrète dont LE BUT est d’endetter et de dévaluer Hydro-Québec DÉLIBÉRÉMENT pour favoriser sa privatisation. Les traîtres sont infiltrés partout: Hydro-Québec, le gouvernement, Power Corp./Desmarais et les médias.

Hydro-Québec 001

La manœuvre implique la construction de nombreux barrages inutiles (la rivière Romaine, la rivière Ouiatchouan) et l’implantation de gigantesques parcs à éolienne.
Toutes ces infrastructures sont SUPERFLUES: avec les énormes surplus énergétiques créés par Hydro-Québec, on n’en a PAS BESOIN, alors pourquoi s’acharnent-ils?!
Des infrastructures financées par TOUS les contribuables québécois qui subissent des hausses de leurs factures d’électricité bien au-delà du taux de l’inflation.

Ces opérations, volontairement conçues pour spolier les Québécois, s’est opérée jusqu’à maintenant dans un silence complet grâce à la complicité des gouvernements tous liés de près à Power Corporation comme il l’a été largement démontré.
Une complicité partagée par les médias d’information, eux-mêmes contrôlés soit par les conglomérats impliqués dans cette entreprise de dépossession, soit par des gouvernements complices.

Les nouveaux barbares : dictature libérale au Québec

Superbe texte. Résumé.

Parti libéral - Cabinet Simpson
Le Québec est gouverné depuis 12 ans (exception faite de 18 mois de 2012 à 2014) par les Nouveaux barbares.
Pour le Nouveau barbare, la culture et l’Histoire n’ont pas d’intérêt.
Il n’hésite pas à tout mettre sur le même pied d’égalité.
Leur désir le plus cher serait une immense vente de garage afin de tout liquider pour repartir à zéro.
Ce qui compte pour lui, c’est le présent, le « concret », ce qui est là sous la main.
C’est ce qui a fait dire à Philippe Couillard: « on est tous venus d’ailleurs » et que « c’est juste la date d’arrivée qui change », faisant ainsi de nous tous des immigrants.
Pas surprenant dans ce contexte qu’il se soit dit disposé à signer la Constitution canadienne.
Le Nouveau barbare est tout de même intéressé par l’avenir, mais pas pour un projet de société ou des valeur, seulement la valeur marchande, ce qui est comptabilisable et surtout rentable.
S’il se dit préoccupé par la dette, c’est dans le but d’ouvrir la porte à l’entreprise privée, c’est-à-dire à lui et ses amis.
C’est que le Nouveau barbare est convaincu qu’il s’est fait lui-même, qu’il ne doit rien à personne ni à la société.
« Si je m’en suis sorti tout seul, alors tout le monde peut en faire autant. »
Pour lui, le filet social est un ruban à mouches qui attire les parasites (autres que lui).
Pour lui, le rôle du citoyen est réduit à celui de simple électeur et surtout de payeur de taxes et d’impôts.
Dans sa gestion des « vraies affaires », il s’adresse au citoyen en tant que consommateur de services, d’usager, de client.
Le Nouveau barbare est un calculateur prêt à tout sacrifier pour arriver à ses fins.
Pour lui, la nature dans son ensemble est un bassin de matière première et d’énergie, comme un immense buffet chinois dans lequel lui et ses amis peuvent se servir à volonté pour s’enrichir. Plan Nord, pétrole de schiste, projet d’oléoduc… All you can eat.
Reste l’usage que le Nouveau barbare fait de la langue.
Les mots dans sa tête se comportent comme des girouettes : leur sens change au gré de ses intérêts et selon les circonstances.
C’est ainsi que « l’intégrisme religieux est un choix personnel » dans la bouche d’un Philippe Couillard et que la ministre Weil peut – ou non – accepter un intégriste dans son cabinet.

Hydro-Québec: une bombe après l’autre! Attaque contre tout le peuple!

ALARME!    — HYDRO-QUÉBEC —   UNE BOMBE APRÈS L’AUTRE. 

PEUT-ÊTRE LA PLUS GRAVE ATTAQUE CONTRE NOTRE PEUPLE.

DESMARAIS-POWER ET LEURS VALETS DU PARTI LIBÉRAL SONT EN TRAIN DE NOUS DÉPOSSÉDER.

LE SILENCE DES MÉDIAS EST LEUR ALLIÉ.

UNE ENQUÊTE PUBLIQUE D’URGENCE, LA MOINDRE DES CHOSES.

UN NID DE CRABES D’ORDURES.

LISEZ, PARTAGEZ.

TEXTE CHOC DE RICHARD LE HIR 

http://www.vigile.net/Les-loups-sont-dans-la-bergerie-et

Autres aspects « secondaires »:

– Le dossier des éoliennes en service commandé qui produisent de l’électricité à perte, perte compensée par des hausses de tarifs! 
– La catastrophe évitée de justesse de l’achat d’Énergie Nouveau Brunswick, transaction à perte qui visait uniquement à mieux PRIVATISER HYDRO car la transaction l’aurait soumise aux chartes fédérastes.
– La centrale au gaz de Bécancour qui a coûté jusqu’à maintenant plus d’un milliard à Hydro-Québecpour garder fermée cette installation appartenant à… TransCanada Énergie! ON SE FAIT ENCULER SOLIDE.
– Le fameux Plan Nord sur lequel Thierry Vandal, qui vient de démissionner, basait sa stratégie énergétique N’EXISTE PAS. À tel point que des citoyens demandant des fonctionnaires d’obtenir copie de ce plan, ceux-ci les ont référés au site Internet – partisan – du PLQ. 
– Des hausses de tarifs au-delà du coût de la vie, 
– Le développement de petites centrales dont nous n’avons pas besoin, 
– Tolérance de comportements syndicaux inappropriés sur des chantiers de la Côte-nord, 
– Des pylônes faits en Inde
– Des contrats secrets avec des alumineries
– ET ENFIN le gouvernement Couillard qui a permis à Hydro-Québec de garder pour elle les trop-perçus, soit 1,3 milliards $ au cours des six dernières années, dont 280 millions $ en 2013, au lieu de diminuer la facture des consommateurs.

 

Tout le monde en place pour une privatisation !  Grand ménage à Hydro-Québec

Hydro-Québec: Un quadruple départ, dont le PDG T. Vandal, très mystérieux

Le gouvernement Couillard en pleine opération de camouflage

http://www.vigile.net/Un-quadruple-depart-tres

ÇA CHIAIT DÉJÀ EN 2009. COMMUNIQUÉ CHOC de Maîtres Chez Nous. Ahurissant!
(Ma seule réserve sur ce communiqué: il vante l’éolien).
http://www.newswire.ca/fr/story/558547/mcn21-exige-le-congediement-immediat-de-thierry-vandal-et-une-enquete-publique-pour-raisons-economiques