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L’identité usurpée au Québec pour donner vie artificiellement au Canada.

Article original

« Une identité volée.

Si vous êtes un Québécois attaché à des symboles tels que la feuille d’érable, le castor, le nom « Canada » et l’hymne « Ô Canada »,  c’est un peu normal, car ce sont TOUS des symboles qui NOUS représentaient avant que les britanniques du Canada ne se les approprient.

Le nom Canada nous vient de Jacques Cartier, et servait à désigner alors le territoire du Québec. Le Ô Canada est une composition patriotique Canadienne-française des Québécois Basil Routhier et Calixa Lavallée, et servait à l’origine pour la Saint-Jean Baptiste, alors fête des Canadiens français (Québécois). La feuille d’érable et le castor étaient aussi à l’origine nos emblèmes à nous les Québécois. Même notre équipe de hockey « les Canadiens » a été nommée ainsi en 1909 en raison de notre identité d’alors. Les couleurs de l’équipe rappelait le drapeau tricolore français et identifiait l’équipe comme une équipe canadienne-française.

Québec Canada POIGNARD - histoire

Tous ces symboles, d’abord détestés par les anglo-saxons qui peuplent le Canada, ont tous été récupérés par eux au cours du 20e siècle. Le but qu’ils visaient en s’appropriant ainsi notre identité et nos symboles était de créer leur Canada. Ils ont misé sur l’attachement à nos vieux symboles pour nous donner l’impression que nous avions toujours notre pays!

C’est depuis ce temps que les fédéralistes nous parlent de la beauté du Canada. Mais ne soyons pas dupes! Le Canada actuel n’est nul autre que le « British North America » qui a été renommé en nous subtilisant notre identité d’origine. Si le Québec avait conservé son nom de « Canada » et que le reste du Canada s’appelait le « British North America », pas certain que que nous en ferions encore partie!

Voilà aussi pourquoi notre peuple a changé sa dénomination pour « Québécois » au lieu de « Canadiens français » au début des années soixante.

Les fédéralistes utilisent donc depuis, l’attachement à notre nom originel pour nous convaincre de continuer à faire partie de LEUR pays. Et ils ont réussi assez bien en y combinant la peur et la tricherie pour nous vaincre une deuxième et une troisième fois, d’abord par la conquête de 1763, et lors des deux référendums sur la souveraineté.

Cette subtilisation de notre identité est selon moi la seule raison de l’attachement de plusieurs Québécois au Canada. Ils sont tout simplement restés attachés à ces symboles usurpés.

Mais les Québécois forment depuis toujours un peuple. Un jour, il se lèvera et deviendra assez lucide pour comprendre que le développement d’une nation se fait par sa souveraineté, par le contrôle de ses richesses. Quand pourrons-nous décider de ce qui est bon pour NOUS? Quand cesserons-nous d’êtres assujettis à la monarchie britannique et aux intérêts d’un autre peuple? Il est difficile pour un peuple qui vit en conquis depuis si longtemps à vivre sous le contrôle d’un autre peuple de s’affranchir complètement. Mais j’ai espoir. »

Trudeau veut réécrire l’Histoire du Canada pour rendre vrais ses mythes

(Journal de Québec, Blog des Spin Doctors, 21 août 2018)

Justin Trudeau veut mettre fin à doctrine des deux peuples fondateurs du Canada (francophones catholiques et anglo-saxons) et pour cela il réécrit l’Histoire.

Le Canada aurait donc été bâti par des vagues d’immigrants accueillis par les premières nations?
Cette seule phrase dépasse l’entendement.
Trudeau Justin contre blancs souches - frontières ouvertes copie copie copie
La réponse de l’historien Frédéric Bastien vaut d’être mentionnée :
« Les immigrants européens était en fait des colons, ce n’est pas la même chose et, deuxio cette « immigration » a été catastrophique pour les autochtones. Sauf que dans l’esprit de Trudeau le mot immigration peut être seulement positif, jamais négatif. Alors il réécrit l’histoire au détriment de ce qui est arrivé aux autochtones. »
 
Aussi, par son affirmation, Trudeau gomme le travail de colonisation et du défrichage impossible de cette contrée inhospitalière, par nos aïeux, et il efface la conquête et les rapports belliqueux entre les Canadiens français et l’occupant britannique.
 
Pour créer cet univers où le Canada n’a plus d’identité nationale, Trudeau veut réécrire l’histoire: les nations autochtones étaient là en premier, elles nous ont « accueillis », elles nous ont montré la voie pour bâtir une société forte, et tous ceux qui sont arrivés après sont égaux. Pas de chicanes et gare à ceux qui oseront poser des questions. »

« Le Canada se désintègre et le Québec est devenu un pays à part » (Université de Toronto, étude)

Extraits d’un article choc (du 3 juin 2014) qui a aussi été publié dans les journaux canadiens anglais.

québec n'égale pas le canada« Le Canada se désintègre. C’est le diagnostic brutal que pose le chercheur Michael Valpy après avoir ausculté le pays pendant 18 mois.
Les Canadiens ont un certain attachement au pays, mais le Canada est devenu un assemblage de «communautés insulaires» qui ne s’adressent plus la parole. »
(Les souverainistes Québécois le savent et le disent depuis très longtemps)

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« Pour beaucoup de Québécois, le Canada est une terre étrangère. Ils visitent Toronto, parfois Vancouver, mais sont souvent plus familiers avec New York ou l’Europe qu’avec le Canada anglais.

Les médias canadiens-anglais ont célébré l’«agonie du séparatisme» depuis la défaite du Parti Québecois aux  élections québécoises du 7 avril 2014, mais Valpy a un regard fort différent.

Dans ses valeurs, dans son identité, le Québec est devenu «un pays à part», dit-il. »

VOIR AUSSI: Le territoire du Québec souverain

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Film « Fight Club » (Brad Pitt) – Consommation VS identité

Extraits du film « FIGHT CLUB » (Brad Pitt)
 » Vous achetez des meubles.
Vous vous dites : « C’est le dernier sofa dont j’aurai besoin; qu’importe ce qui se produira, j’ai réglé le problème du sofa. »
Puis, ce sera le « problème » du bon ensemble de vaisselle, de l’auto, du condo, et tout le reste.
Voici une génération entière d’esclaves qui ne le savent pas.
La publicité les poussent à tout faire pour obtenir ces belles voitures et des vêtements hors de prix, à endurer un emploi qu’ils détestent pour pouvoir acheter toutes ces choses dont ils n’ont pas besoin.
Nous sommes les enfants « moyens » de l’histoire, sans but ou endroit qui nous soit propre.
Nous n’avons aucune grande guerre, ou grande dépression.
La grande guerre est une guerre spirituelle.
La grande dépression est celle de nos vies.
Nous avons été dressés par la télévision pour croire que nous serons des millionnaires, des dieux du cinéma ou des vedettes du rock.
Mais nous RÉALISONS que nous ne serons rien de tout ça.
Et nous sommes très, très en colère.
Vous N’ÊTES PAS l’argent que vous avez à la banque.
Vous n’êtes pas les vêtements que vous portez.
Vous n’êtes pas votre travail.
Vous n’êtes pas votre automobile.
Nous devrions être définis par les CHOIX nous FAISONS. »